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Format :Broché
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Etat :
Occasion - Correct
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Poids :0.44 kg
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Catégories :
- > Connaissances > Histoire > 1939-1945
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En stock :1
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ISBN :2857040741
1933-1945 - Avec le témoignage de Willy Brandt
Ce livre n'a qu'une ambition : démontrer que des dizaines de milliers d'Allemands ont combattu avec acharnement le régime sanguinaire érigé par Adolf Hitler. Il rappelle également aux lecteurs français que ces Allémands-là furent assez courageux pour essayer d'entraver, au péril de leurs vies ou par leurs sacrifices, la démarche meurtrière du Troisième Reich, et que, par conséquent, contrairement à ce que l'on pense encore trop souvent, la nation allemande n'en porte pas, dans sa totalité, l'entière responsabilité. Il faut donc prendre acte de cette vérité incontestable : des ouvriers et des bourgeois, des socialistes, des syndicalistes et des communistes, des protestants et des catholiques, des officiers et de nombreux jeunes ont, tout au long du règne hitlérien, risqué leur vie en témoignant d'une " autre Allemagne ". Des milliers d'Allemands ont été exécutés pour avoir participé à des actes de " haute trahison ". D'autres, bien plus nombreux encore, ont souffert et sont morts dans les prisons et camps de concentration du régime nazi. Lorsque les déportés français sont arrivés dans ces camps, ils y ont rencontré des Allemands. Et pour cause : ils avaient été créés pour y " héberger " les adversaires allemands de la " peste brune ". On ne parlera pas pour autant d'un réel mouvement de résistance en Allemagne hitlérienne. De toute manière, un régime totalitaire qui force les citoyens à se soumettre à une discipline de fer au point de les priver de la moindre parcelle d'autonomie, rend impossible la constitution du moindre mouvement de masse. C'est pourquoi ces Allemands étaient exemplaires. Ils méritent, inconnus ou méconnus, de ne pas rester confinés dans l'anonymat et que l'on se souvienne.
Ce livre n'a qu'une ambition : démontrer que des dizaines de milliers d'Allemands ont combattu avec acharnement le régime sanguinaire érigé par Adolf Hitler. Il rappelle également aux lecteurs français que ces Allémands-là furent assez courageux pour essayer d'entraver, au péril de leurs vies ou par leurs sacrifices, la démarche meurtrière du Troisième Reich, et que, par conséquent, contrairement à ce que l'on pense encore trop souvent, la nation allemande n'en porte pas, dans sa totalité, l'entière responsabilité. Il faut donc prendre acte de cette vérité incontestable : des ouvriers et des bourgeois, des socialistes, des syndicalistes et des communistes, des protestants et des catholiques, des officiers et de nombreux jeunes ont, tout au long du règne hitlérien, risqué leur vie en témoignant d'une " autre Allemagne ". Des milliers d'Allemands ont été exécutés pour avoir participé à des actes de " haute trahison ". D'autres, bien plus nombreux encore, ont souffert et sont morts dans les prisons et camps de concentration du régime nazi. Lorsque les déportés français sont arrivés dans ces camps, ils y ont rencontré des Allemands. Et pour cause : ils avaient été créés pour y " héberger " les adversaires allemands de la " peste brune ". On ne parlera pas pour autant d'un réel mouvement de résistance en Allemagne hitlérienne. De toute manière, un régime totalitaire qui force les citoyens à se soumettre à une discipline de fer au point de les priver de la moindre parcelle d'autonomie, rend impossible la constitution du moindre mouvement de masse. C'est pourquoi ces Allemands étaient exemplaires. Ils méritent, inconnus ou méconnus, de ne pas rester confinés dans l'anonymat et que l'on se souvienne.