-
Collection :
Pygmalion
-
Format :Broché
-
Etat :
Occasion - Bon
-
Poids :0.57 kg
-
Langue :Français
-
Catégories :
-
En stock :1
-
ISBN :9782857043416
L'amour plus fort que la mort au temps du Roi Arthur et des Dames du Lac.
Par une tiède matinée de l'an 641, un soleil rouge s'élevait lentement dans le ciel du royaume de Cambrie, sur l'île de Grande-Bretagne, berceau nappé de brumes et de mystères de la légende du Roi Arthur et des Dames du Lac. A l'orée d'un bois, un cavalier contemplait longuement la princesse étendue dans une prairie cernée de buissons neigeux. Non loin d'elle, sa jument grise paissait paisiblement. La tête de la jeune femme reposait sur la masse soyeuse de ses cheveux dénoués, dans une pose alanguie qui ressemblait au sommeil. Elle avait délacé son pourpoint de chasse en cuir, ouvert le col de sa chemise. Tout semblait lui sourire... Et pourtant, au soir du même jour, la mort tragique de son frère allait briser son avenir et ses rêves, l'obliger à abandonner son amant, à renoncer au trône de ses ancêtres, à épouser, contre son gré, un prince d'une contrée ennemie. Bravant l'adversité, refusant tous les compromis, il lui faudrait se défendre et se battre avec désespoir, résister aux épreuves, subir les pires outrages, rester, envers et contre tous, fidèle à elle-même, sans jamais se soumettre, devenir indomptable, intraitable, invincible. C'est ce « non » d'une reine rebelle, ce non permanent, obstiné, victorieux, que met magnifiquement en scène cette très belle et très violente histoire d'amour et de chevalerie, sur fond de cruauté et de féerie, d'étranges sortilèges et de barbarie, au temps où émergeait de l'Age des Ténèbres une civilisation naissante appelée à unir dans une seule nation Celtes et Chrétiens, Romains et Anglo-Saxons. Admiratrice de l'œuvre de Tolkien, Le Seigneur des Anneaux, et férue de littérature arthurienne, Kathleen Herbert est remonté aux sources de l'histoire et des légendes celtiques pour reconstituer la mosaïque mouvante du monde héroïque et brutal de la vieille Angleterre du VIIe siècle à peine sortie du paganisme druidique et encore divisée en plusieurs royaumes ennemis. Lors de sa parution Outre-manche, La Reine Rebelle a obtenu le prix « Georgette Heyer » couronnant chaque année le meilleur roman historique.
Par une tiède matinée de l'an 641, un soleil rouge s'élevait lentement dans le ciel du royaume de Cambrie, sur l'île de Grande-Bretagne, berceau nappé de brumes et de mystères de la légende du Roi Arthur et des Dames du Lac. A l'orée d'un bois, un cavalier contemplait longuement la princesse étendue dans une prairie cernée de buissons neigeux. Non loin d'elle, sa jument grise paissait paisiblement. La tête de la jeune femme reposait sur la masse soyeuse de ses cheveux dénoués, dans une pose alanguie qui ressemblait au sommeil. Elle avait délacé son pourpoint de chasse en cuir, ouvert le col de sa chemise. Tout semblait lui sourire... Et pourtant, au soir du même jour, la mort tragique de son frère allait briser son avenir et ses rêves, l'obliger à abandonner son amant, à renoncer au trône de ses ancêtres, à épouser, contre son gré, un prince d'une contrée ennemie. Bravant l'adversité, refusant tous les compromis, il lui faudrait se défendre et se battre avec désespoir, résister aux épreuves, subir les pires outrages, rester, envers et contre tous, fidèle à elle-même, sans jamais se soumettre, devenir indomptable, intraitable, invincible. C'est ce « non » d'une reine rebelle, ce non permanent, obstiné, victorieux, que met magnifiquement en scène cette très belle et très violente histoire d'amour et de chevalerie, sur fond de cruauté et de féerie, d'étranges sortilèges et de barbarie, au temps où émergeait de l'Age des Ténèbres une civilisation naissante appelée à unir dans une seule nation Celtes et Chrétiens, Romains et Anglo-Saxons. Admiratrice de l'œuvre de Tolkien, Le Seigneur des Anneaux, et férue de littérature arthurienne, Kathleen Herbert est remonté aux sources de l'histoire et des légendes celtiques pour reconstituer la mosaïque mouvante du monde héroïque et brutal de la vieille Angleterre du VIIe siècle à peine sortie du paganisme druidique et encore divisée en plusieurs royaumes ennemis. Lors de sa parution Outre-manche, La Reine Rebelle a obtenu le prix « Georgette Heyer » couronnant chaque année le meilleur roman historique.