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Collection :
Gallimard
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Format :Broché
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Etat :
Occasion - Bon
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Poids :0.39 kg
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Langue :Français
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Années d'édition :1976
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Catégories :
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En stock :1
Ce livre est loin d'un autoportrait : un recueil de témoignages, chacun suscité par les circonstances, sur des personnalités profondément différentes les unes des autres. Leur réunion est pourtant l'occasion d'une méditation inédite, personnelle et actuelle sur une image unique : celle que Pierre Mendès France a donnée de lui-même, l'homme public au service de la vérité.
Inspiré par l'exemple des autres, ses ancêtres et ses prédécesseurs, ses pairs et ses interlocuteurs, jamais peut-être Pierre Mendès France n'avait encore exprimé ses convictions et ses espérances avec autant de ferveur communicative.
Sur le rôle de l'homme d'État dans une démocratie, sur l'action gouvernementale et la décision politique, sur la place du citoyen dans la démocratie nationale, sur les moyens de l'information et le contrôle de l'opinion, Pierre Mendès France ne se contente pas de donner à sa pensée de toujours une expression d'une sincérité sans égale. C'est aux problèmes d'aujourd'hui et de demain qu'il applique les leçons d'hier, à la construction de la démocratie socialiste qu'il ne cesse de songer, s'adressant d'abord à la jeunesse et à la gauche pour leur rappeler, comme disait Saint-Just, que «pour fonder la République, il faut d'abord la faire aimer».
Inspiré par l'exemple des autres, ses ancêtres et ses prédécesseurs, ses pairs et ses interlocuteurs, jamais peut-être Pierre Mendès France n'avait encore exprimé ses convictions et ses espérances avec autant de ferveur communicative.
Sur le rôle de l'homme d'État dans une démocratie, sur l'action gouvernementale et la décision politique, sur la place du citoyen dans la démocratie nationale, sur les moyens de l'information et le contrôle de l'opinion, Pierre Mendès France ne se contente pas de donner à sa pensée de toujours une expression d'une sincérité sans égale. C'est aux problèmes d'aujourd'hui et de demain qu'il applique les leçons d'hier, à la construction de la démocratie socialiste qu'il ne cesse de songer, s'adressant d'abord à la jeunesse et à la gauche pour leur rappeler, comme disait Saint-Just, que «pour fonder la République, il faut d'abord la faire aimer».