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Collection :
Fleuve Noir Feu
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Format :
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Etat :
Occasion - Bon
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Poids :0.21 kg
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Langue :Français
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N° :N°52
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Années d'édition :1966
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Catégories :
Banzaï ! Le cri terrible dont les Japonais accompagnaient leurs assauts... Le hurlement terrifiant, poussé par des milliers de gorges, qui, sur les plages blondes des îles du Pacifique, annonçaient la mort...
Banzaï ! Les marines d'Iwo-Jima l'ont entendu plus souvent et plus fort que n'importe quelle autre armée. Car ceux d'Iwo-Jima devaient reconquérir l'une des positions nippones les plus puissantes et les mieux défendues du Pacifique. Pour eux le Suribachî - le sommet le plus élevé de l'île ? était une sorte d'Everest, plus élevé, plus redoutable que l'autre. Car pour le vaincre, il ne s'agissait pas seulement de combattre la nature, la jungle, les marais, les ravins, les insectes.
Le véritable ennemi, sur Iwo-Jima, c'était les dizaines de milliers de petits soldats verts qui s'enterraient dans des positions souterraines, faisaient corps avec la jungle et surgissaient soudain de nulle part, en de monstrueuses charges-suicides, précédés par le cri hallucinant: Banzaï !
De ceux qui entendirent ce cri, bien peu vivent encore et moins encore sont capables de rapporter leur expérience. Plet Legay y a réussi et nous donne, avec BANZAI SUR IWOJIMA, l'un des romans les plus saisissants que nous ayons publiés dans cette collection.
Banzaï ! Les marines d'Iwo-Jima l'ont entendu plus souvent et plus fort que n'importe quelle autre armée. Car ceux d'Iwo-Jima devaient reconquérir l'une des positions nippones les plus puissantes et les mieux défendues du Pacifique. Pour eux le Suribachî - le sommet le plus élevé de l'île ? était une sorte d'Everest, plus élevé, plus redoutable que l'autre. Car pour le vaincre, il ne s'agissait pas seulement de combattre la nature, la jungle, les marais, les ravins, les insectes.
Le véritable ennemi, sur Iwo-Jima, c'était les dizaines de milliers de petits soldats verts qui s'enterraient dans des positions souterraines, faisaient corps avec la jungle et surgissaient soudain de nulle part, en de monstrueuses charges-suicides, précédés par le cri hallucinant: Banzaï !
De ceux qui entendirent ce cri, bien peu vivent encore et moins encore sont capables de rapporter leur expérience. Plet Legay y a réussi et nous donne, avec BANZAI SUR IWOJIMA, l'un des romans les plus saisissants que nous ayons publiés dans cette collection.

