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Collection :
Le livre de poche
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Format :
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Etat :
Occasion - Bon
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Poids :0.15 kg
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Langue :Français
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N° :N°30073
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Catégories :
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En stock :1
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ISBN :9782253072782
Je me bats contre les pédants, les cons et les tartuffes, disait Coluche et, sur ce front-là, il était infatigable. La preuve en est, ses sketches par dizaines, ses trois ans d’interventions quotidiennes à la radio, les multiples entretiens dans la presse et autres émissions de télévision, d’où sont tirés ces pensées et ces textes, restés jusqu’ici inédits.
Que ce soit sur la politique : Pour avoir une chance d’être Premier ministre faut être ou un gros qui rassure ou un maigre qui fait peur ; la société : Les mecs y font des voitures sans permis, y feraient mieux de faire des voitures sans alcool ! ; ou les rapports entre hommes et femmes : Je suis pour l’amour à trois. Parce que si y en a un qui s’endort, il reste toujours à qui parler. Aujourd’hui encore, Coluche est incomparable. On retrouve intactes, dans ce livre, toute sa générosité, ses colères et sa truculence.
-Quand j’étais gamin, j’étais très têtu. Ma mère m’enfermait dans le poulailler pour me punir. Eh ben, j’étais tellement têtu que j’ai jamais rien pondu.
-Les cimetières ont augmenté leurs tarifs. Eh oui, le coût de la vie augmente !
-L’intelligence, c’est pas sorcier, il suffit de penser à une connerie et de dire l’inverse.
-Avec la retraite, les mecs ont assez de fric pour vivre peinards jusqu’à la fin de leurs jours. Sauf évidemment s’ils veulent acheter quelque chose.
Que ce soit sur la politique : Pour avoir une chance d’être Premier ministre faut être ou un gros qui rassure ou un maigre qui fait peur ; la société : Les mecs y font des voitures sans permis, y feraient mieux de faire des voitures sans alcool ! ; ou les rapports entre hommes et femmes : Je suis pour l’amour à trois. Parce que si y en a un qui s’endort, il reste toujours à qui parler. Aujourd’hui encore, Coluche est incomparable. On retrouve intactes, dans ce livre, toute sa générosité, ses colères et sa truculence.
-Quand j’étais gamin, j’étais très têtu. Ma mère m’enfermait dans le poulailler pour me punir. Eh ben, j’étais tellement têtu que j’ai jamais rien pondu.
-Les cimetières ont augmenté leurs tarifs. Eh oui, le coût de la vie augmente !
-L’intelligence, c’est pas sorcier, il suffit de penser à une connerie et de dire l’inverse.
-Avec la retraite, les mecs ont assez de fric pour vivre peinards jusqu’à la fin de leurs jours. Sauf évidemment s’ils veulent acheter quelque chose.