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Collection :
Folio
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Format :
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Etat :
Occasion - Bon
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Poids :0.33 kg
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Langue :Français
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Catégories :
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En stock :1
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ISBN :9782072715549
Soixante-deux contes, et autant de vies minuscules : histoires singulières et universelles, petites misères et grands combats. Unamuno fait revivre le monde qui l'entoure, celui des commerçants, fonctionnaires, habitués des cafés ou des casinos, servantes au grand coeur et chasseurs fanfarons.
Il puise dans le folklore basque, dans les scènes de la vie quotidienne, dans les questions de société. Écrits de 1888 à 1925, proches des Fictions de Borges ou des nouvelles de Dino Buzzati, ces contes témoignent d'un réalisme de l'absurde, tantôt gouailleur, tantôt pessimiste. L'auteur nous entraîne dans une introspection aux frontières du fantasme, en mettant à nu nos rêveries morbides, nos peurs héritées de l'enfance, qu'il tempère par d'heureuses plongées dans la réalité terrienne du pays basque.
Intellectuel humaniste, passionné de débats, érigeant le paradoxe au rang d'oeuvre d'art, l'auteur du Sentiment tragique de la vie fut à la fois un penseur mélancolique et un écrivain engagé. Entrons dans l'univers mental de celui qui lança aux franquistes de Salamanque, en 1936, quelques mois avant sa mort : "Vous vaincrez, mais vous ne convaincrez pas".
Il puise dans le folklore basque, dans les scènes de la vie quotidienne, dans les questions de société. Écrits de 1888 à 1925, proches des Fictions de Borges ou des nouvelles de Dino Buzzati, ces contes témoignent d'un réalisme de l'absurde, tantôt gouailleur, tantôt pessimiste. L'auteur nous entraîne dans une introspection aux frontières du fantasme, en mettant à nu nos rêveries morbides, nos peurs héritées de l'enfance, qu'il tempère par d'heureuses plongées dans la réalité terrienne du pays basque.
Intellectuel humaniste, passionné de débats, érigeant le paradoxe au rang d'oeuvre d'art, l'auteur du Sentiment tragique de la vie fut à la fois un penseur mélancolique et un écrivain engagé. Entrons dans l'univers mental de celui qui lança aux franquistes de Salamanque, en 1936, quelques mois avant sa mort : "Vous vaincrez, mais vous ne convaincrez pas".