De Sébastopol à Paris
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Collection :
J'ai lu
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Format :
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Etat :
Occasion - Bon
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Poids :0.54 kg
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Langue :Français
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N° :A203
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Années d'édition :1969
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Catégories :
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En stock :2
Entre le 17 et le 24 août 1944, le sort de Paris dépendit de la décision d'un seul homme.
Que le général Dietrich von Choltitz obéît aux directives de Hitler et donnât l'ordre de mettre à feu les charges d'explosifs préparées de longue date, alors la ville entière sautait !
Notre-Dame, l'arc de triomphe, la tour Eiffel, tous les ponts et tous les palais de Paris ne seraient plus aujourd'hui que souvenirs.
Or, von Choltitz ne put se résoudre à laisser s'accomplir ce crime et préféra braver la colère du Führer dont les ordres, puis les menaces, se faisaient chaque jour plus pressants.
Comment cet aristocrate, cet officier de la vieille école, vainqueur de Rotterdam et de Sébastopol, devint le sauveur de la Ville Lumière, on le comprendra au cours de cet ouvrage passionnant. II s'agit en quelque sorte des carnets de campagne du général depuis la Hollande et le front russe jusqu'à la bataille de Normandie et à la libération de Paris.
Et, à travers le récit de la vie de cet officier, on découvrira que les mots "honneur" et "devoir" ont parfois plus de poids que le mot "ennemi".
Que le général Dietrich von Choltitz obéît aux directives de Hitler et donnât l'ordre de mettre à feu les charges d'explosifs préparées de longue date, alors la ville entière sautait !
Notre-Dame, l'arc de triomphe, la tour Eiffel, tous les ponts et tous les palais de Paris ne seraient plus aujourd'hui que souvenirs.
Or, von Choltitz ne put se résoudre à laisser s'accomplir ce crime et préféra braver la colère du Führer dont les ordres, puis les menaces, se faisaient chaque jour plus pressants.
Comment cet aristocrate, cet officier de la vieille école, vainqueur de Rotterdam et de Sébastopol, devint le sauveur de la Ville Lumière, on le comprendra au cours de cet ouvrage passionnant. II s'agit en quelque sorte des carnets de campagne du général depuis la Hollande et le front russe jusqu'à la bataille de Normandie et à la libération de Paris.
Et, à travers le récit de la vie de cet officier, on découvrira que les mots "honneur" et "devoir" ont parfois plus de poids que le mot "ennemi".