J'aurais dû épouser Marcel

Que faire, après 1918, des « veuves blanches » de Sologne ? Fiancées à leurs « Marcel » qui ne reviennent pas du front, elles sont logées et perçoivent une modeste pension en échange de l'entretien de l'église et des tombes à l'abandon, mais aussi de leur chasteté absolue...
En quelques nouvelles, Françoise Xenakis nous raconte leurs histoires, réalistes et percutantes, qui dépeignent avec émotion la France de l'entre-deux-guerres.