La cuisinière et le mangeur d'hommes
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Collection :
Points
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Format :
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Etat :
Occasion - Bon
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Poids :0.24 kg
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Langue :Français
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Catégories :
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En stock :3
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ISBN :9782020043734
«Un des livres qui m'ont le plus poursuivi..., incité à réfléchir, inventorier, retourner aux sources, relire Soljénitsyne, Lénine et Marx, réinterpréter la réalité. »
Jean Daniel, Le Nouvel Observateur
«La cuisinière, c'est celle que Lénine conviait dans une apostrophe célèbre à la direction des affaires soviétiques. Le mangeur d'hommes ? N'importe quel chef de camp, garde-chiourme, membre du bureau politique ou du comité central, fonctionnaire d'autorité ou non, profiteur du nouveau système, ou idéologue, qui les couvre. Ou encore le cannibale suprême, l'Etat. Leur réunion : une grenade que l'on commence à se passer de main en main. »
Paul Gillet, Le Monde
«André Glucksmann nous fait voir non seulement la réalité de la république « socialiste », mais aussi le Goulag qui est dans nos cervelles. » R. Maggiori, Libération
«C'est féroce parce que totalement irrespectueux. »
Pierre Daix, Le Quotidien de Paris
«L'espérance véritable semble se réveiller dans les cris. Le cri de Glucksmann a récusé le ronron marxiste agonisant. » Maurice Clavel, France Culture
Jean Daniel, Le Nouvel Observateur
«La cuisinière, c'est celle que Lénine conviait dans une apostrophe célèbre à la direction des affaires soviétiques. Le mangeur d'hommes ? N'importe quel chef de camp, garde-chiourme, membre du bureau politique ou du comité central, fonctionnaire d'autorité ou non, profiteur du nouveau système, ou idéologue, qui les couvre. Ou encore le cannibale suprême, l'Etat. Leur réunion : une grenade que l'on commence à se passer de main en main. »
Paul Gillet, Le Monde
«André Glucksmann nous fait voir non seulement la réalité de la république « socialiste », mais aussi le Goulag qui est dans nos cervelles. » R. Maggiori, Libération
«C'est féroce parce que totalement irrespectueux. »
Pierre Daix, Le Quotidien de Paris
«L'espérance véritable semble se réveiller dans les cris. Le cri de Glucksmann a récusé le ronron marxiste agonisant. » Maurice Clavel, France Culture