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Collection :
Le livre de poche
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Format :
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Etat :
Occasion - Bon
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Poids :0.19 kg
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Catégories :
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En stock :1
Le Tiers Monde n'est pas la masse inerte et désespéree qu'on nous donne trop souvent à percevoir en Occident; bien au contraire, il réfléchit, travaille et innove.
Guy Sorman nous en propose une vue nouvelle au terme d'une enquête de trois années dans dix-huit pays, de l'Égypte à l'Inde, de la Chine au Brésil, en passant par la Corée, Cuba ou l'Afrique du Sud. Ce voyage, qui commence à la frontière mexicaine et s'achève dans l'île de Zanzibar, nous fait rencontrer des chefs d'État, des poètes, des philosophes, des économistes, des puissants et des humbles. Une nouvelle définition du Tiers Monde s'en dégage progressivement: ces peuples sont moins les victimes des conditions naturelles ou de l'"impérialisme" que des mauvaises politiques que leur imposent leurs propres gouvernements. Il apparaît aussi que les recettes ou les idées
reçues, pas plus que les idéologies révolutionnaires, n'apportent la moindre solution à la pauvreté de masse.
Des solutions concrètes se dégagent, en revanche, à partir de la « révolution verte » qui a vaincu la famine en Inde, de la réforme agraire à Taïwan et en Chine, ou de la conquête du marché mondial par les Coréens, qui démontre comment un peuple sous développé a pu devenir riche en vingt-cinq ans.
Guy Sorman nous en propose une vue nouvelle au terme d'une enquête de trois années dans dix-huit pays, de l'Égypte à l'Inde, de la Chine au Brésil, en passant par la Corée, Cuba ou l'Afrique du Sud. Ce voyage, qui commence à la frontière mexicaine et s'achève dans l'île de Zanzibar, nous fait rencontrer des chefs d'État, des poètes, des philosophes, des économistes, des puissants et des humbles. Une nouvelle définition du Tiers Monde s'en dégage progressivement: ces peuples sont moins les victimes des conditions naturelles ou de l'"impérialisme" que des mauvaises politiques que leur imposent leurs propres gouvernements. Il apparaît aussi que les recettes ou les idées
reçues, pas plus que les idéologies révolutionnaires, n'apportent la moindre solution à la pauvreté de masse.
Des solutions concrètes se dégagent, en revanche, à partir de la « révolution verte » qui a vaincu la famine en Inde, de la réforme agraire à Taïwan et en Chine, ou de la conquête du marché mondial par les Coréens, qui démontre comment un peuple sous développé a pu devenir riche en vingt-cinq ans.