-
Collection :
Points
-
Format :
-
Etat :
Occasion - Bon
-
Poids :0.15 kg
-
Langue :Français
-
N° :R335
-
Catégories :
-
En stock :2
-
ISBN :9782020105217
Ils sont quatre frères âgés de quatre à treize ans qui partent avec leur cousin Jean-Baptiste passer l'été dans la villa familiale Les Pervenches à Lacanau-Océan et, parce que c'est la guerre et que les adultes ont d'autres tâches. ils y resteront sous la seule tutelle d'André, l'aîné, une femme de charge venant s'occuper de la cuisine et du ménage.
Ainsi, à part des visites éclair de supervision de leur mère et tante, ces garçons vivent en liberté, une liberté exaltante pour les pas-tout-à-fait huit ans de Jean-Baptiste, admirateur d'André et de ses audaces.
La marée apporte cependant jusqu'à eux épaves et cadavres, mais la guerre demeure trop lointaine pour être autre chose qu'un prétexte à des jeux. plus passionnants de se teinter d'une apparence de danger, la pêche nocturne au filet ou la course à l'écureuil cédant le pas à la chasse à l'espion,..
Souvenirs fantastiques mais souvenirs vrais qui remontent à l'un des derniers étés de la Grande Guerre (1914-1918) et que Jean Cayrol a tirés de sa mémoire pour montrer que «dans des temps exceptionnels le monde enfantin est exceptionnel » et parce que , « Il faut bien revenir à son origine même la plus cruelle si nous voulons porter une lumière sur l'ombre que nous faisons avec notre vie », comme il le dit en préface à ce témoignage sur son enfance que sont Les Enfants pillards.
Ainsi, à part des visites éclair de supervision de leur mère et tante, ces garçons vivent en liberté, une liberté exaltante pour les pas-tout-à-fait huit ans de Jean-Baptiste, admirateur d'André et de ses audaces.
La marée apporte cependant jusqu'à eux épaves et cadavres, mais la guerre demeure trop lointaine pour être autre chose qu'un prétexte à des jeux. plus passionnants de se teinter d'une apparence de danger, la pêche nocturne au filet ou la course à l'écureuil cédant le pas à la chasse à l'espion,..
Souvenirs fantastiques mais souvenirs vrais qui remontent à l'un des derniers étés de la Grande Guerre (1914-1918) et que Jean Cayrol a tirés de sa mémoire pour montrer que «dans des temps exceptionnels le monde enfantin est exceptionnel » et parce que , « Il faut bien revenir à son origine même la plus cruelle si nous voulons porter une lumière sur l'ombre que nous faisons avec notre vie », comme il le dit en préface à ce témoignage sur son enfance que sont Les Enfants pillards.