Pauvre Georges !

Lorsqu'il s'engagea dans l'escalier, sa nuque le picota légèrement. (...) Il s'accrocha à la rampe et monta jusqu'au petit palier de l'étage. Il allait entrer dans la salle de bains quand il surprit un discret mouvement de la porte de la chambre d'amis. Son coeur se mit à battre. Il se sentit mal, et lorsqu'il entendit sa propre respiration, il fut frappé de terreur. Il voulait s'enfuir. Mais le danger lui-même le paralysait. (...) Avec un cri sourd, il se jeta contre la porte et poussa jusqu'à ce que la résistance du corps qui se trouvait derrière l'empêchât d'aller plus loin. (...) "Vous m'écrasez la tête", cria une voix. Georges s'écarta en reculant.