-
Collection :
Le livre de poche
-
Format :
-
Etat :
Occasion - Bon
-
Poids :0.13 kg
-
Langue :Français
-
N° :N°5749
-
Catégories :
-
En stock :2
-
ISBN :9782253031680
Jeannette est perdue. Perdue dans la foule en liesse. Dans quelques heures son mari, Gilbert Lefèvre, député-maire d'une ville du Nord, doit inaugurer la maison de la culture. Pour être à sés côtés, Jeannette s'est enfuie de la clinique où elle suivait une cure de désintoxication. Jeannette la scandaleuse : elle boit et provoque des incidents nuisibles à la carrière de son mari. On dit, pour l'excuser, qu'elle souffre de ne pas avoir eu d'enfant, mais son malheur, en vérité, c'est d'aimer, d'aimer Gilbert, depuis près de vingt ans, et de ne plus le reconnaître tout à fait. Jeannette la pitoyable.
Gilbert a changé sans doute. Il est absorbé par ses fonctions. Eloigné des rêves de sa jeunesse, soucieux d'efficacité, il s'est attaché à Marie-Christine qui l'assiste dans sa tâche. Et pourtant c'est Jeannette qu'il aime.
En cet après-midi de fête où elle attend l'heure de rejoindre Gilbert, Jeannette va errer, misérable, se retrouver parmi les admirateurs de ce chanteur populaire qui officie au théâtre de verdure en célébrant l'amour. Et dans le duel qui l'oppose à MarieChristine, elle perd... en apparence du moins, car Jeannette est forte, de sa détresse, de son amour, de son désir d'ailleurs. Elle est celle grâce à qui le vrai scandale éclate.
D'une manière ou d'une autre, l'amour recèle toujours un ferment de révolte : Jeannette est la sueur de Dickie-Roi mais aussi de Madame Guyon et d'Allegra.
Gilbert a changé sans doute. Il est absorbé par ses fonctions. Eloigné des rêves de sa jeunesse, soucieux d'efficacité, il s'est attaché à Marie-Christine qui l'assiste dans sa tâche. Et pourtant c'est Jeannette qu'il aime.
En cet après-midi de fête où elle attend l'heure de rejoindre Gilbert, Jeannette va errer, misérable, se retrouver parmi les admirateurs de ce chanteur populaire qui officie au théâtre de verdure en célébrant l'amour. Et dans le duel qui l'oppose à MarieChristine, elle perd... en apparence du moins, car Jeannette est forte, de sa détresse, de son amour, de son désir d'ailleurs. Elle est celle grâce à qui le vrai scandale éclate.
D'une manière ou d'une autre, l'amour recèle toujours un ferment de révolte : Jeannette est la sueur de Dickie-Roi mais aussi de Madame Guyon et d'Allegra.