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Collection :
Folio
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Format :
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Etat :
Occasion - Très bon
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Poids :0.31 kg
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Langue :Français
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N° :N°261
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Catégories :
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ISBN :9782070328727
L'image a toujours eu barre sur les hommes, mais l'oeil occidental a une histoire et chaque époque son inconscient optique. Notre regard fut magique avant d'être artistique. II devient à présent économique.
II n'y a pas d'image en soi. Son statut et ses pouvoirs ont varié au gré des révolutions techniques et des croyances collectives. C'est la logique de cette évolution surprenante qu'on a voulu ici suivre à la trace, depuis les grottes ornées jusqu'à l'écran d'ordinateur. En réconciliant, pal une démarche médiologique, les approches matérielle et spirituelle du monde de l'art, trop souvent exclusives.
L'ère des images n'aura-t-elle été qu'une brève parenthèse entre le temps des " idoles " et celui du " visuel " où nous sommes entrés ?
La mise au jour des codes invisibles du visible dissipe en tout cas quelques mythes tenaces, tels que " l'histoire de l'Art " ou " la Civilisation de l'image ". En entrant dans la vidéosphère, avec le saut décisif du cinéma à la télévision et bientôt avec la révolution numérique, c'est sans doute aussi à " la société du spectacle " qu'il nous faut dire adieu.
II n'y a pas d'image en soi. Son statut et ses pouvoirs ont varié au gré des révolutions techniques et des croyances collectives. C'est la logique de cette évolution surprenante qu'on a voulu ici suivre à la trace, depuis les grottes ornées jusqu'à l'écran d'ordinateur. En réconciliant, pal une démarche médiologique, les approches matérielle et spirituelle du monde de l'art, trop souvent exclusives.
L'ère des images n'aura-t-elle été qu'une brève parenthèse entre le temps des " idoles " et celui du " visuel " où nous sommes entrés ?
La mise au jour des codes invisibles du visible dissipe en tout cas quelques mythes tenaces, tels que " l'histoire de l'Art " ou " la Civilisation de l'image ". En entrant dans la vidéosphère, avec le saut décisif du cinéma à la télévision et bientôt avec la révolution numérique, c'est sans doute aussi à " la société du spectacle " qu'il nous faut dire adieu.

