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Collection :
Actes Sud
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Format :Broché
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Etat :
Occasion - Bon
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Poids :0.54 kg
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Langue :Français
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Catégories :
- > Romans > Romans littéraires
- > Littérature > Biographies
- > Littérature > Témoignages, Récits & Essais
- > Thèmes > Arts > Cinéma & Théatre
- > Thèmes > Arts > Arts plastiques
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En stock :1
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ISBN :9782330148805
"Cry-Baby", avec Johnny Depp dans un de ses premiers rôles ? C'est lui. "Serial Mother", mettant en scène une Kathleen Turner en mère tueuse sur fond pastel ? Lui encore. "Hairspray", qui a connu un énorme succès tant à Broadway que dans sa réadaptation cinématographique ? Lui aussi. Réalisateur, scénariste, acteur, écrivain et artiste jusqu'au bout de sa célèbre moustache dessinée à l'eye-liner, John Waters - alias le Pape du Trash - semble avoir autant de casquettes qu'il a eu de vies.
A soixante-quatorze ans, toujours aussi déjanté et acerbe, il revient avec ce nouvel ouvrage, à la fois mémoires et livre de conseils, récit nourri d'anecdotes de tournage et d'expériences personnelles, d'hommages et d'exercices d'admiration (Warhol, Divine, Pasolini, Patty Hearst...), d'humour irrévérencieux et de "punch lines" ravageuses.
Toujours aussi radical et transgressif, le dandy punk et kitsch de Baltimore, devenu culte malgré lui, continue d'épingler les travers de ses contemporains et de pourfendre ses ennemis : le conformisme, le bon goût, les racistes et homophobes de tous bords. Pour cela, il dispose d'une arme de subversion massive : l'humour noir. Qu'il évoque sa période underground et ses déboires hollywoodiens ou qu'il livre ses pensées sur la sexualité, le militantisme, la mort, l'art simiesque ou la drogue, John Waters le fait toujours avec une formidable liberté de ton et un sens de la formule percutant.
A soixante-quatorze ans, toujours aussi déjanté et acerbe, il revient avec ce nouvel ouvrage, à la fois mémoires et livre de conseils, récit nourri d'anecdotes de tournage et d'expériences personnelles, d'hommages et d'exercices d'admiration (Warhol, Divine, Pasolini, Patty Hearst...), d'humour irrévérencieux et de "punch lines" ravageuses.
Toujours aussi radical et transgressif, le dandy punk et kitsch de Baltimore, devenu culte malgré lui, continue d'épingler les travers de ses contemporains et de pourfendre ses ennemis : le conformisme, le bon goût, les racistes et homophobes de tous bords. Pour cela, il dispose d'une arme de subversion massive : l'humour noir. Qu'il évoque sa période underground et ses déboires hollywoodiens ou qu'il livre ses pensées sur la sexualité, le militantisme, la mort, l'art simiesque ou la drogue, John Waters le fait toujours avec une formidable liberté de ton et un sens de la formule percutant.