-
Collection :
Plon
-
Format :Broché
-
Etat :
Occasion - Bon
-
Poids :0.54 kg
-
Langue :Français
-
Catégories :
-
En stock :1
-
ISBN :9782259194037
Après quarante ans d’exil, Enrico Macias entretient toujours avec son pays natal une véritable histoire d’amour.
Invité par le président Bouteflika à y retourner en mars 2000, il a vu sa tournée annulée in extremis. Pourquoi ?
Mais d’abord, comment Gaston Ghrenassia, petit juif de Constantine, est-il devenu le « Tino Rossi des pieds-noirs », puis une star populaire de la chanson française ?
Pourquoi, après une longue carrière bien remplie, a-t-il pris le risque de renouer avec la musique arabo-andalouse ?
D’où lui vient ce désir effréné de réconcilier les hommes partout où ils se déchirent, jusqu’à se voir intronisé, en 1997, premier messager de la paix des nations unies ?
Pourquoi l’Algérie lui reste-t-il interdite ?
Impossible de répondre à toutes ces questions sans revenir sur l’assassinat, en 1961 à Constantine, de Raymond Leyris, son maître de musique, son maître à penser et son beau-père.
Qui a tué ce maestro et pourquoi ?
Ecrit à la première personne, » Mon Algérie » est un message de compassion adressé à l’Algérie d’aujourd’hui, celle qui saigne.
Mais surtout un chant d’amour au pays natal, à la musique, à la paix et au futur.
Invité par le président Bouteflika à y retourner en mars 2000, il a vu sa tournée annulée in extremis. Pourquoi ?
Mais d’abord, comment Gaston Ghrenassia, petit juif de Constantine, est-il devenu le « Tino Rossi des pieds-noirs », puis une star populaire de la chanson française ?
Pourquoi, après une longue carrière bien remplie, a-t-il pris le risque de renouer avec la musique arabo-andalouse ?
D’où lui vient ce désir effréné de réconcilier les hommes partout où ils se déchirent, jusqu’à se voir intronisé, en 1997, premier messager de la paix des nations unies ?
Pourquoi l’Algérie lui reste-t-il interdite ?
Impossible de répondre à toutes ces questions sans revenir sur l’assassinat, en 1961 à Constantine, de Raymond Leyris, son maître de musique, son maître à penser et son beau-père.
Qui a tué ce maestro et pourquoi ?
Ecrit à la première personne, » Mon Algérie » est un message de compassion adressé à l’Algérie d’aujourd’hui, celle qui saigne.
Mais surtout un chant d’amour au pays natal, à la musique, à la paix et au futur.