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Collection :
Anne Carrière
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Format :Broché
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Etat :
Occasion - Bon
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Poids :0.29 kg
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Langue :Français
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Catégories :
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En stock :1
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ISBN :9782843379871
Une nuit, à la terrasse d'un café parisien, Marius est d'humeur noire. Il a besoin d'un verre. De plusieurs même. Tout devient flou soudain, il tombe. Et reprend ses esprits dans la chambre d'un hôpital psychiatrique, attaché à un lit.
Le lendemain, un médecin lui explique qu'il sortira... seulement quand il l'en jugera capable.
Le voici prisonnier, lui qui n'a commis ni crime ni délit.
Vieillards sans famille, SDF, travailleurs en burn-out, compagnons d'infortune drôles et touchants attendent ici, parfois depuis des mois, un diagnostic qui ne vient jamais. À l'ennui mortel, à l'infantilisation, au mépris glaçant de l'institution pour ses patients, à la peur surtout, ils ne trouvent qu'un remède : fumer.
Le Fumoir est l'histoire d'un jeune homme enfermé « pour son bien ».
Ils sont 100 000 chaque année en France à être hospitalisés en psychiatrie sous contrainte.
Des hommes et des femmes dont la liberté se trouve suspendue au jugement d'un médecin, sans aucun recours possible.
Il aura fallu deux années au narrateur pour qu'il cesse de vivre dans l'angoisse de voir surgir des blouses blanches devant sa porte.
Deux années et ce livre.
Le lendemain, un médecin lui explique qu'il sortira... seulement quand il l'en jugera capable.
Le voici prisonnier, lui qui n'a commis ni crime ni délit.
Vieillards sans famille, SDF, travailleurs en burn-out, compagnons d'infortune drôles et touchants attendent ici, parfois depuis des mois, un diagnostic qui ne vient jamais. À l'ennui mortel, à l'infantilisation, au mépris glaçant de l'institution pour ses patients, à la peur surtout, ils ne trouvent qu'un remède : fumer.
Le Fumoir est l'histoire d'un jeune homme enfermé « pour son bien ».
Ils sont 100 000 chaque année en France à être hospitalisés en psychiatrie sous contrainte.
Des hommes et des femmes dont la liberté se trouve suspendue au jugement d'un médecin, sans aucun recours possible.
Il aura fallu deux années au narrateur pour qu'il cesse de vivre dans l'angoisse de voir surgir des blouses blanches devant sa porte.
Deux années et ce livre.