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Collection :
Denoël
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Format :Broché
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Etat :
Occasion - Correct
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Poids :0.42 kg
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Langue :Français
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Années d'édition :1979
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Catégories :
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En stock :1
L'Allemagne obsède à nouveau les Français. Elle leur inspire de nouvelles craintes mais aussi d'étranges admirations. Ces sentiments ne sont pas nouveaux.
Dans ce livre souvent rude, sans taire des vérités désagréables, Michel Meyer explique comment, depuis le début du XIXème siècle, la France est malade de l'Allemagne après l'avoir été, trés longtemps, de l'Angleterre. Il démonte, comme un meccano, la mécanique sans secrets, sans miracles, du «succès réalisateur» allemand. Il stigmatise l'allergie au mouvement de Français trop volontiers figés dans un conservatisme désuet ou dans l'adulation fétichiste et stérile d'idéologies matérialistes vieillottes.
Pour l'auteur qui vit dans l'intimité des deux sociétés française et allemande, le problème actuel de l'Europe est donc moins une puissance germanique plus fragile et plus chèrement payée qu'on ne le croit que l'inexplicable faiblesse d'une France peut-être trop gâtée par la nature mais souvent en proie à ses traditionnelles confusions et divisions internes, à ses refus légendaires du réel.
Dans ce livre souvent rude, sans taire des vérités désagréables, Michel Meyer explique comment, depuis le début du XIXème siècle, la France est malade de l'Allemagne après l'avoir été, trés longtemps, de l'Angleterre. Il démonte, comme un meccano, la mécanique sans secrets, sans miracles, du «succès réalisateur» allemand. Il stigmatise l'allergie au mouvement de Français trop volontiers figés dans un conservatisme désuet ou dans l'adulation fétichiste et stérile d'idéologies matérialistes vieillottes.
Pour l'auteur qui vit dans l'intimité des deux sociétés française et allemande, le problème actuel de l'Europe est donc moins une puissance germanique plus fragile et plus chèrement payée qu'on ne le croit que l'inexplicable faiblesse d'une France peut-être trop gâtée par la nature mais souvent en proie à ses traditionnelles confusions et divisions internes, à ses refus légendaires du réel.