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Collection :
Seuil
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Etat :
Occasion - Bon
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Poids :340 kg
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Catégories :
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En stock :1
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ISBN :2020637405
Il n’y a pas si longtemps, des bidonvilles se dressaient sur les berges du Rhône. Il n’en reste plus trace. Ceux qui ont vécu là, les pionniers de l’immigration algérienne, vieillissent et s’effacent en silence.
L’enfant du quartier, le gone du Chaâba, lui, est devenu romancier et sociologue. Sa planète est désormais celle des idées et des mots, des aéroports et des salles de congrès qu’il traverse au pas de course. C’est un homme du nord, un occidental pressé, en même temps qu’un Arabe aux émotions à fleur de peau. Certains jours, il ne sait plus d’où il est.
Quelque part à Lyon, dans un hôpital anonyme, son père, vieil immigré aux mains cimentées, s’éteint comme il a vécu : sans déranger. La smala se retrouve autour de ce vide. Des mots, des gestes, des odeurs, des prières ressurgissent. Une mémoire venue de loin, de cette autre rive de la Méditerranée, devenue légende, où l’écrivain et sa fille conduiront ensemble le corps du père au cours d’un étonnant voyage à rebours de leur histoire…
Un grand roman de rire, de larmes et d’amour…
La mort du père cristallise les problèmes identitaires d’un fils d’immigré et de sa fille. Avec une verve intacte, où s’entrecroisent sans cesse l’humour et l’émotion, ainsi qu’un inimitable talent de conteur, Azouz Begag reprend le fil d’une autobiographie longtemps interrompue, dix-huit ans après Le Gone du Chaâba.
L’enfant du quartier, le gone du Chaâba, lui, est devenu romancier et sociologue. Sa planète est désormais celle des idées et des mots, des aéroports et des salles de congrès qu’il traverse au pas de course. C’est un homme du nord, un occidental pressé, en même temps qu’un Arabe aux émotions à fleur de peau. Certains jours, il ne sait plus d’où il est.
Quelque part à Lyon, dans un hôpital anonyme, son père, vieil immigré aux mains cimentées, s’éteint comme il a vécu : sans déranger. La smala se retrouve autour de ce vide. Des mots, des gestes, des odeurs, des prières ressurgissent. Une mémoire venue de loin, de cette autre rive de la Méditerranée, devenue légende, où l’écrivain et sa fille conduiront ensemble le corps du père au cours d’un étonnant voyage à rebours de leur histoire…
Un grand roman de rire, de larmes et d’amour…
La mort du père cristallise les problèmes identitaires d’un fils d’immigré et de sa fille. Avec une verve intacte, où s’entrecroisent sans cesse l’humour et l’émotion, ainsi qu’un inimitable talent de conteur, Azouz Begag reprend le fil d’une autobiographie longtemps interrompue, dix-huit ans après Le Gone du Chaâba.