La tête du poisson

« C'est par la tête que pourrit le poisson », dit un proverbe plus ou moins chinois.
C'est la tête de notre civilisation que commencent à pourrir les sectes qui comptent, en France, plus de 500000 adeptes. Une personne sur cent ! Dans la variété de leurs dogmes, un trait commun : attaquer ce qui fait le principe même de notre civilisation, notre goût pour la raison, l'innovation, et l'action individuelle...
A la place se développent les superstitions les plus folles, assorties de l'obéissance absolue à un gourou.
S'appuyant sur une analyse détaillée des procédés de captation utilisés par les principales sectes, Roger Ikor nous incite à y voir clair et à agir en conséquence. Car en restaurant une morale fondée sur les données permanentes de la nature humaine, redresser le cap et désamorcer la peur que nous semblons éprouver devant l'avenir redeviendra possible.